Les engagements
L'utilisation de STOCKS DORMANTS
La culture du coton est très gourmande en eau. Aujourd’hui, 10 000 litres d’eau sont nécessaires pour produire 1 kg de coton.
C’est d’autant plus problématique que le coton pousse généralement dans des régions chaudes, où l’irrigation intensive des champs contribue à la raréfaction de l’eau et rend l’accès à l’eau potable toujours plus complexe.
Face à cet impact environnemental désastreux, il nous a paru urgent d’explorer une alternative à ces pratiques.
En 2023, Faem a revalorisé près de 100 kg de coton, soit l’équivalent de 1 MILLION de litres d’eau préservés. Cela correspond également à la consommation annuelle en eau de 1 300 personnes ou encore à 5 000 douches.
En revalorisant des stocks dormants, nous créons avec l’existant et évitons la création de nouvelles matières premières. Composer avec des stocks de matières que d’autres marques ou usines n’exploitent plus nous permet d’avoir un impact positif en préservant une ressource vitale : l’eau.
moins mais mieux
Plutôt que de proposer des vêtements éphémères, FAEM choisit la qualité et la durabilité.
Une arme secrète ?
Notre savoir-faire, développé au sein de grandes marques, nous permet de sélectionner nos matières avec rigueur. Nous privilégions les matières qui passeront l’épreuve du temps et qui correspondent à notre ADN #LifewearConscient.
De plus, notre approche ultra-locale permet de travailler en étroite collaboration avec des talents locaux, comme des modélistes, couturières et les ateliers de production.
Cette collaboration crée une chaîne de production à la fois fiable et compétente. Ce qui s’inscrit à l’opposé du mode de fonctionnement de la fast fashion.
Le résultat ? Des vêtements de qualité supérieure qui vous accompagneront pour de nombreuses saisons.
Si vous vous demandez comment ça marche côté fast fashion : les grandes marques, dans leur quête éperdue de profits, ont radicalement réduit la qualité de leurs vêtements.
Génial, non ?
Beaucoup d’entre nous ont vu leurs vêtements se détériorer après les premiers lavages…
Pourquoi faire durer quand on peut vendre plus ?
Cette brillante idée a abouti à la mode éphémère que nous connaissons aujourd’hui.
Nous achetons 40 % de plus qu’il y a 15 ans, et nos vêtements, ils durent le temps de dire ‘fast fashion’. En fin de compte on peut aussi parler d’obsolescence programmée… Pour les marques, c’est tout bénéfice, mais pour notre portefeuille et la planète, c’est une toute autre histoire.
Les précommandes
Afin de réduire au maximum la surproduction, d’éviter les invendus. Les créations sont proposées en précommandes, à un prix préférentiel, pendant une certaine période.
C’est une approche qui minimise les déchets, réduit les coûts et permet de se concentrer sur un produit de la plus haute qualité.
Cela signifie une petite attente, mais soyez en sûr, c’est l’avenir de la mode !
En toute transparence.
Une fois la période de précommande passée, une petite quantitée est rajoutée.
Pour votre tranquillité, 5% sont ajoutés pour les éventuels changements de taille.
Enfin, afin de développer FAEM, une petite quantité supplémentaire est ajoutée. Par exemple, cela vous permettra de découvrir les produits en physique, lors d’évènements tels que des marchés de créateurs éco-responsables.